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 SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r.

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SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. Vide
MessageSujet: SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r.   SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. EmptyMar 19 Oct - 20:29

    ROUSSEAU-CÖMPISH, Silöeh Deirdre
      « dix-huit ans, née à Versailles le douze février mille neuf cent quatre-vingt douze, célibataire, citadine. »
SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. 2yla1b9
(c) credit reginaways

Depuis quand habites-tu ici ? — Eh bien depuis six bons mois si je ne me trompe pas.. oui c'est cela puisque c'était la veille de son anniversaire.. Six mois environs. Mais, étrangement, je ne les ai pas vu passer. A Paris, c'était tellement l'inverse, qu'ici, c'est à peine si j'ai l'impression que la semaine est bientôt finie c'est pour dire. En même temps quand on a un Rob pour vous tenir compagnie, celle-ci ne peut être qu'agréable ! Et puis, il a été adorable de m'accueillir chez lui, après tout, il n'était pas obligé.. Quoique *rire* Aimes-tu la campagne ? — Ma famille serait carrément outrée et dégoûtée, tient tant mieux, mais ouais. Finallement. Je me souviens de mon premier été dans ce blède paumé, Constance m'y avait emmené pour ne pas se retrouver comme intrue parmis la bande d'amis de son pote, de Robin. Et puis, ça m'arrangeait, pour une fois, j'allais pas dans la sempiternelle maison de vacances louée au plus offrant. Fini les brunch barbant, emmerdant. Alors je vous dis pas quand on m'a fais découvert le coin. C'était appaisant. Et les paysages.. Grandioses ! Les couchers de soleil sur les pleines d'étendues verdoyantes, la couleur dorée des champs et l'odeur délicieuse de l'herbe fraichement coupée m'ennivrait. Explique nous une de tes meilleures journées passé ici. — Sans aucun doute, mon premier jour. Avec Robin. J'ai débarqué en fin d'après-midi avec comme seul bagage, un sac à dos d'infortune, quelques vêtements foutus à la va-vite et quelques bricoles. Il a souris quand j'ai débarassé mon sac, il a dû me prendre pour une folle, une folle qui s'était enfuie de chez elle, presque sur un coup de tête. Ah. Mais en tout cas, la restant de la journée avait été parfait. On s'était promené dans les champs tout bêtement et on avait finis par pique-niquer : beurre de cacahouètes et bout de pain. Un repas digne de ce nom *rire*
    Explique nous un de tes pires souvenir passé ici. — C'est peut-être idiot.. Non rectification, c'est idiot. Mais c'est quand je me suis fait insultée de "sale bourge" par un gosse de quinze ans que j'avais malencontreusement percutée. Je sais pas... J'avais l'impression que j'aurais toujours cette inscription collée à mon front quoique je fasse, quoique je dise. Toujours perçue comme fille de bourgeois. Suis-je que ça pour les autres ? Une pauvre fille qui vit au crochet du compte en banque de ses parents ? Non.. Non ! Merde, s'il savait ce que j'ai fais pour en arriver où j'en suis. Tout quitter pour recommencer à zéro. Ce crétin ne fera probablement jamais la moitié de ce que j'ai fais. Voilà ce que j'aurais dû lui balancer au lieu de bafouiller comme une idiote.


.



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(c) crédit _ red filters
PSEUDO & PRENOM ♦️ Anaïs.
ÂGE ♦️ Seize ans.
AVATAR ♦️ Emma Watson (a)
OU AVEZ-VOUS TROUVÉ LE FORUM ? ♦️ Bazzart Very Happy
VOTRE AVIS A SON SUJET ♦️ Magnifique. Simple, ça change des grandes villes quoi ! Et puis, l'argument du plaisirs de traire des vaches quoi mdrr.
PRÉSENCE SUR LE FORUM ♦️ Autant que je peux.
UN DERNIER MOT ♦️ Dédicasse à mon Robin d'amour pour avoir créé le personnage (a)





Dernière édition par Siloëh Rousseau-Cömpish le Jeu 21 Oct - 9:01, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r.   SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. EmptyMar 19 Oct - 20:29

en deux mille huit - devant une petite ferme à Prestwick

Nous étions en été, un été particulièrement chaud et où le soleil n’en finit plus de pointer haut dans le ciel. J’avais négocié ces vacances pendant deux longs mois avec les parents, en contrepartie, je devrais participer à tous les brunchs et conneries de ce genre jusqu’à nouvelle ordre. Plutôt cher payé, mais bon, c’était Constance. Et puis, elle m’avait promis qu’on s’amuserait, alors… Ainsi, après avoir galéré un bon quart d’heure à l’aéroport pour trouver le bon taxi qui nous emmènerai dans le bon coin paumé, on avait débarqué au milieu du village avec comme seul point de repérage, l’adresse d’un pote à elle. Sauf que moi j’imaginais le truc dans un petit quartier comme on pouvait voir quelques fois dans des reportages à la télé, mais du tout. Un vieil homme nous avait indiqué le chemin à prendre, un chemin perdu entre deux champs dont le chemin n’était fait que de terre et de plaque d’herbes. Nous avions l’air fines avec nos spartiates à talons qui claquaient la terre avec nos jupettes blanches, qui finirent dans les nuances plutôt grisâtres qu'autre chose évidemment. Détail qui amusa le jeune fermier de vingt-et-un ans quand il nous vit entrer dans le salon du corps de ferme. En faite, on pensait que c’était la porte d’entrée et vu qu’elle était entre-ouverte, mon amie avait jugé bon d’entrer. En tout cas, on fit une entrée remarquée puisque la bande d’amis dudit fermier était installée sur le sofa et ils ont tous éclatés de rire en nous apercevant. Je vous dis, une entrée parfaite ! En tout cas, en à peine une heure, j’avais sympathisé avec la plupart, mais je n’avais toujours pas rencontré le fameux ami grâce à qui j’avais quitté Paris qui était parti je-ne-sais-où. Constance, mademoiselle aux bonnes idées, m’attrapa par le bras et déclara d’un ton solennel que nous partons à sa recherche. J’ai eu beau la regarder, la supplier du regard plutôt, pas du tout emballée de jouer à cache-cache dans les champs, en moins de temps qu’il le faut, on était sorties et elle criait de sa voix aigüe le prénom du jeune homme en arpentant le chemin de terre qui bordait la propriété. Quant à moi, je la suivais d’un pas traînant, priant qu’il entende cette cacophonie. Mais en attendant, j’observai les lieux, levant les yeux de temps en temps vers le ciel, ou devant moi pour admirer l’horizon. Et tout à coups, j’entend du bruit venant de l’étable. Enfin je crois que ça s’appelle comme ça, ou peut-être grange. En tout cas, je m’y dirige, curieuse. Le sol est recouvert de paille, ça change de la terre et de la boue, j’inspecte vite fait. Finalement, j’hausse les épaules, il n’y a personne. Je fais volte-face, et je ne sais comment, je n’avais pas remarqué le tonneau renversé au sol, je trébuche et m’étale de tout mon long dans l’épaisseur de foin. « Il y a quelqu’un ? » Je souffle sur une mèche de cheveux qui m’obscurci la vue et tourne la tête autant que je le peux. « Heum… » Je ne sais pas quoi dire, j’ai l’air ridicule et j’aurai préféré que personne n’assiste à la scène. J’entend des pas qui descendent d’un escalier et qui s’approchent de moi. Je fais la moue, en priant que ça ne soit pas un jeune du groupe. « Ca va bien ? Tu ne t’es pas fait mal j’espère. Attend… » Il me tend la main, une main noircie par la terre, écorchée à de nombreux endroits mais la poigne est délicatement masculine. « Non, non, ça va… Merci… » Je bafouille stupidement avant de lever mon visage vers le jeune homme. J’écarquille les yeux sans m’en rendre compte. Pour un fermier, il est incroyablement séduisant, on aurait que ses traits de visage ont été sculptés dans du marbre… Je me sens rougir, je secoue la tête comme pour me débarrasser de cette chaleur qui m’envahie. « Waaah… » Hein ?! Merde. « Euh, je veux dire ... » J’entend vaguement mon amie qui marmonne qu’elle l’a enfin trouvé et qui me félicite. Entre deux bouts de phrases, j’entend : Robin, j’te présente une amie d’Paris, Silo, enfin Siloëh. Et puis bah Silo, voilà Robin, le pote qui te sauve de tes vacances pouraves avec tes vieux. Je souris, il me sourit. J’hésite à lui faire la bise, ou à lui serrer la main, ou à rien faire du tout. Je tend la main inconsciemment. Mon amie éclate de rire, mais lui, bien qu’il sourit davantage, me la serre poliment. Je la repose aussitôt contre ma jambe. Je lui aurai bien crié : vilaine, mais t’es conne ou quoi ?! Mais je suis assez passée pour une folle pour aujourd’hui.
.

en deux mille neuf - vers neuf heures dans une chambre d'hôpital.
Elle était allongée, les draps remontés jusqu’au menton, les paupières closes, des fils qui pendaient autours d’elle étaient branchés à une grosse machine dont le nom m’était sorti de la tête. Elle était si pale, et son visage creusé à mort. Elle me ferait presque pitié si je ne m’étais pas rendu compte du subterfuge ! Regardez-là tenter de respirer le plus discrètement possible, ralentissant ses bouffées d’air tout en gardant un pseudo rythme naturel. Elle est vraiment conne cette fille tellement c’est irresponsable dans son état ! Qu’elle frôle encore la mort, ça lui fera les pieds ! Enfin non. Revoir les vieux s’affoler encore toute une nuit avec maman qui éclate en sanglots toutes les deux minutes et papa faire les cents pas jusqu’en donnant leur tournis, non merci bien. C’est ça fait semblant de dormir ma poulette, peut-être qu’eux ils ne voient rien, mais compte pas me berner, moi. Après seize ans de vie commune, je croyais que tu me connaissais mieux. Mais bref. . Je les entendais discuter dans leur coin, ils murmuraient, craignant de perturber son sommeil probablement, s’ils savaient, et bien qu’ils essayaient de faire le moins de bruit possible, des pas résonnaient dans la chambre ainsi que des brides de conversations où mademoiselle était le centre de tout. Evidemment. Les yeux rivés sur elle, j’attendais qu’elle mime au moins un semblant de réveil, qu’elle ne les laisse pas angoisser d’avantage, mais rien. Bien sûre, rien. Ce n’était qu’une putain de trouillarde à deux balles. La fille prodige qui avait merdé, qui devra s’expliquer, mettre ses jolis petits sourires de côté et assumer. Ah, comme si elle en était capable ! Après toutes les conneries de gosse qu’elle a fait et que –j’ai- dû couvrir pour préserver son petit statut de fleur innocente. Mon cul ! C’est juste un putain d’serpent qui se cache derrière.

« Lève-toi ! » Les vieux venaient de sortir en marmonnant qu’ils allaient prendre l’air. Tant mieux, j’aurais enfin une explication avec celle-là et qu’elle ne se défile pas. « Ne me prend pas pour une idiote Valentine ! » Aucun mouvement, pas même un murmure. C’était un fait, elle me prenait bel et bien pour une idiote. « J’en ai marre de cette connerie, alors tu bouge ton cul squelettique de ce putain de lit ! » D’ordinaire, je ne me serai pas montrée aussi dure, mais mince quoi, qu’elle arrête de jouer à la belle au bois dormant, c’est plus de son âge ! « Ah ouais, tu l’prend comme ça ? Eh bien ma cocotte t’es mal tombée ! J’suis pas papa et encore moins maman alors ! » C’était à prévoir. Elle aurait dû le voir venir. Mais son esprit doit être embrumé par je ne sais quelle merde et ce, depuis un sacré bout de temps. Je l’attrapai par le bras et le pousser fermement vers moi, l’obligeant à réagir, ou du moins, à se lever.
« Hééé, mais qu’est-ce qui te prend bordel ?! » Elle était plantée devant moi, et alors que ma main emprisonnée toujours son bras, elle fit un geste brusque et colérique, je lâchai. « Ah, tient, mademoiselle ne dors plus, hein ? Alors tu vas m’écouter… » « Et si j’ai pas envie ? Et si ‘mademoiselle’ veut retourner se coucher ?! » Je souris à sa voix qui se voulait provocatrice mais qui n’était à mes yeux qu’une pitoyable feinte pour remettre à plus tard la réalité. « Arrête de foutre ta vie en l’air, arrête cette grève de la faim merde ! Tu as vu dans quel état tu es ? T’a vu où t’es ? Je ne veux pas te voir comme ça.. » « Tu crois que ça m’amuse ?! Tu ne sais pas, tu ne sais rien. » « Peut-être. Mais je sais que t’a eu de la chance de pas crever. C’est tout. » Oui. Cette nuit, j’ai faillis perdre ma sœur et mes parents, leur fille. Mais ça, elle ne le voit pas, elle croit qu’elle est la seule à plaindre. Putain de merde. Et malgré tout, je trouve le moyen de radoucir ma voix devant elle. Parce que c’est une gamine et qu’en tant que grande-soeur, j’me dois d’être là pour elle. Sous le coup, elle se retourna brusquement. Très bien. Sans dire un mot, je reculais de quelques pas avant d’abaisser la poignée et de sortir de ce bordel qui m’a pris la tête toute la nuit. La laissant probablement comme une conne. Je m’en fous.

.

]
En deux mille dix – collée à la fenêtre de l’avion.
Appuyée contre le hublot, je regarde les nuages défilés. J’ai perdu la notion du temps depuis mon embarquement fugace, à peine avais-je pris la décision de m’en aller, décision renforcée après la réponse positive de Robin, que j’avais réservé la première place qui m’était tombée sous les yeux. Au diable si c’était avec leur argent, et au diable, s’ils auront la mauvaise surprise de découvrir sur la facture un montant de neuf cent euros débité sur leur compte ! De toute façon, je leur faisais faire des économies en fin de compte. Ils n’auront plus à s’occuper de moi ni les frais d’inscription de l’université qu’ils m’ont imposé. Tant mieux pour eux, tant mieux pour moi. Je ne suis pas faite pour rester des heures dans un bureau. Je décroisais les jambes avant de les recroiser de nouveau. J’étais anxieuse. Bien que j’avais toujours rêvé de m’en aller loin, de quitter ce quotidien monotone et fade que m’inspirait la vie parisienne, je me demandais bien ce que j’allais faire, ce que j’allait être à Prestwick. Je ne veux plus vivre au dépend des autres, je ne veux pas que Robin s’occupe de moi financièrement, déjà qu’il ne roule pas sur l’or… Je culpabilise tout d’un coup. Je me sens coupable en quelque sorte. Il n’a jamais rien demandé, et encore moins d’accueillir une gamine qui n’a même pas fait d’étude, qui n’a pas de qualification… Je me met à tortiller mes doigts les uns contre les autres. Etais-ce une mauvaise idée ? Peut-être qu’il avait accepter de me loger seulement pour ne pas me blesser ? Peut-être… Mais non, enfin, on est amis, depuis le temps qu’on correspond.. Une hôtesse me sort de ma songerie, elle me demande si je veux boire quelque chose, je lui répond dans un vague sourire que je désire bien un peu d’eau. Elle me tend le verre, je pose mes mains autours, plonge mon regard dans la surface liquide. Je suis idiote avec toutes ces questions. C’est pas maintenant qu’il fallait me les poser mais bien avant de décrocher mon portable. Oui, idiote. Une gamine impulsive, incapable de se comporter avec maturité. Ah. Dans un petit moment de perturbation, le verre tangue de mes mains et se renverse sur mon chemisier. J’arque le sourcil en me mordant la lèvre, j’essaye de me sécher en passant la main dessus, mais rien y fait, une tâche humide se forme. Je secoue la tête dans un réflexe énervé. Je repense à Valentine. Elle a vécu des moments difficiles, après l’hôpital, ils l’ont envoyé en cure pendant cinq mois pour qu’elle réapprenne à manger. Chose qu’ils ont bien sûre camoufler, prétextant une mauvaise chute qui nécessitait plusieurs mois de repos. Des cons qui n’assument même pas que leur propre fille ne supporte plus l’enfer qu’ils nous font vivre. Elle croira que je l’ai abandonné, lâchement abandonné, elle ne me pardonnera pas. Je resserre un bout de tissu dans mon poing. J’ai l’impression d’avoir tord sur toute la ligne… L’hôtesse de tout à l’heure me prévient que l’avion va se poser, que je dois mettre ma ceinture. Je laisse mes pensées se mettre sur le bouton pause et m’exécute.


Dernière édition par Siloëh Rousseau-Cömpish le Mer 20 Oct - 19:58, édité 8 fois
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Cloé B. Duchesne

Cloé B. Duchesne

Messages : 148
Date d'inscription : 05/02/2010


Carnet de campagnard
âge du personnage : vingt et un
Agenda de relations. :

SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. Vide
MessageSujet: Re: SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r.   SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. EmptyMar 19 Oct - 20:34

WATSON bienvenue et bonne continuation pour ta fiche I love you
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https://bitchplease.1fr1.net

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MessageSujet: Re: SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r.   SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. EmptyMar 19 Oct - 20:45

Welcome ^^
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MessageSujet: Re: SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r.   SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. EmptyMar 19 Oct - 21:15

OUI, on aime traire les vaches. I love you *OUT*
Bienvenue sur HC ! SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. 695720
Emma. SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. 519988
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MessageSujet: Re: SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r.   SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. EmptyMar 19 Oct - 21:21

Bienvenue & Bon courage pour la suite de ta fiche !
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MessageSujet: Re: SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r.   SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. EmptyMar 19 Oct - 21:48

Cette phrase a marqué les esprits SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. 424104
Bienvenue I love you
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MessageSujet: Re: SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r.   SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. EmptyMer 20 Oct - 0:51

BIENVENUE parmis nous SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. 695720
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MessageSujet: Re: SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r.   SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. EmptyMer 20 Oct - 13:59

    WAAAAH, quel accueil I love you I love you
    merci beaucoup à tout l'monde (a)
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MessageSujet: Re: SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r.   SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. EmptyMer 20 Oct - 14:58

WELCOOOOOOOOOOOME. SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. 435179 SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. 805334 SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. 620342 SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. 805334
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MessageSujet: Re: SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r.   SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. EmptyMer 20 Oct - 19:59

    merci beaucoup robinouchou SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. 435179 SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. 519988 SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. 620342
    et puis, voilà, je pense que j'ai finis, c'est pas parfait, mais bon..
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MessageSujet: Re: SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r.   SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. EmptyMer 20 Oct - 20:09

Personnellement, j'adore !
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MessageSujet: Re: SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r.   SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. EmptyVen 22 Oct - 21:01

    haan, merci I love you
    tu me rassure (a)
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MessageSujet: Re: SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r.   SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. EmptyVen 22 Oct - 21:36

Je te valide alors I love you
Bon jeu parmi nous SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. 519988
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MessageSujet: Re: SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r.   SILO • l’inertie de mon existence se dérobe sous mes pas. o v e r. Empty

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