« Racontes nous ton histoire ou une anecdote en minimum 30 lignes. »
Assise, sans aucune pensée un simple geste celle de ramener la bouteille à ses lèvres et d'engloutir le contenu de cette dernière qui lui brûlait la trachée, le contenu lui faisait perdre tout sens d'équilibre, de compréhension et de réflexion, l'alcool la détruisait la cause de cette déprime: son mari qui était parti, à chaque fois qu'il quittait la maison Madame Lessing sortait une bouteille de sa cachette secrète et elle en buvait plus d'une jusqu'à son retour. Elle avait peur qu'il ne revienne plus jamais alors qu'il n'allait qu'au travail mais parfois s'absentait tellement. Ses amis lui disaient que c'était normal qu'une fois l'amour et le mariage confortablement installé il y a cette obligation de tromperie, c'était elle qui avait commencé. Elle avait peur qu'il parte avec une de ces petites jeunes et qu'elle l'abandonne avec son , Misha âge de trois ans à cette époque . Fille de bonne famille Madame Lessing qui répondait au nom de Jemina avait toujours eu des problèmes psychologiques, elle était faible d'esprit, dépressive et tombait facilement dans l'alcool. Il lui fallait d'une petite chose pour qu'elle retombe dedans et qu'elle perdre sa responsabilité de mère qu'elle avait, elle essayait de lutter mais n'y arrivait jamais. Le soleil se couchait, le soir se levait comme tous les soirs Jemina attendait devant l'horloge la venu de son mari, elle était énervée qu'il les laisse elle et son fils seul.
Nigel ▬ « Maman il est où papa ? »Jemina ▬ « Mange et tais toi Misha. »Nigel ▬ « Oui maman. Papa m’appelle Nigel lui… Tout le monde m’appelle Nigel. »Jemina ▬« Nigel est ton deuxième prénom triple idiot. C’est Misha compris et mange maintenant. »Nigel s’était exécuté, balançant ses jambes et mangeant sans un bruit, il regardait sa mère discrètement qui avait un air si abattu mais il ne savait pas pourquoi, comme sa mère lui avait donné l’ordre de se taire il finit son assiette à trève vite allure.
Nigel ▬« Maman pourquoi t’a mal au cœur? »Jemina ▬ « Oui mon chaton maman à mal au cœur. »
Nigel descendait de table regardant sa mère débarrasser, il levait sa tête pour essayer de comprendre ce qui n’allait pas, mais quand il avait entendu le bruit du moteur et avait vu les phares de la voiture de son père il oubliait le problème et il était déjà devant la porte pour sauter au coup de son père, qui le prenait dans ses bras.
Mr Lessing ▬ « Bonsoir mon garçon. »Nigel▬ « Papa, on t’as pas attendu pour manger. »Jemina▬ « Tu as vu l’heure? »Mr Lessing▬ « Je cocuher Nigel et nous en parleron après. »Jemina▬ « C’est Misha! »Mr Lessing ▬ « Il préfère Nigel laisse le. »
Il montait déjà les escalier, son fils dans les bras trop excité pour tenir en place, il ne voulait pas dormir, il protestait mais quand son père le bordait et lui avait ordonnée de fermer les yeux, il s'était exécuté.
Jemina▬ « Où était tu? »M Lessing ▬ « J’ai bu quelque verres avec des collègues, je suis fatigué. »Jemina▬ « Tu me trompe c’est ça? »Mr Lessing ▬ « Qu’ets ce que tu raconte Jem’, je ne trompe pas. »Jemina ▬ « Alors explique moi. »Mr Lessing ▬ « Tu sais quoi j’en ai marre laisse moi. »Madame Lessing regardait son mari gravir les escaliers, elle essuyait ses larmes et se couchait au côté de son mari qu'elle ne reconnaissait plus. Les deux mariés ne firent que se disputer, Nigel assistait à ceci et ne comprenait pas ce passait, perturber par ces faits, trop longtemps il se couvrait les oreilles quand ils commençaient à se disputer.
Puis Nigel commençait lui aussi a forger son caractère, il se battait beaucoup pour un enfant de son âge, peut-être qu'il avait une maladie ou quoique ce soit c'Est-ce qu'avait dit le directeur, Jemina ne laissait personne traiter son fils ainsi et le changeait alors d'école.
Il n'avait pas une vie facile entre des parents qui se disputaient à chaque fois qu'il se voyait. Avec l'âge Nigel comprenait de plus en plus le sens de leurs disputes, pour des choses si futiles puis Nigel était aussi vite le sujet de dispute.
Nigel ▬ « Maman, vous m'aimez pas avec papa? »Jemina▬ « Mais non mon chaton pourquoi tu dis ça. »Nigel ▬ « Vous vous disputez souvent a cause de moi avec papa. »Jemina▬ « N‘importe quoi, on t‘aime fort tu sais, beaucoup trop pour te laisser tout seul. » Nigel ▬ « Moi aussi je t’aime Maman, j’aime aussi Papa alors arrêter de vous disputer, s’il te plait. »Jemina ▬ « Je ferais de mon mieux. »Nigel ▬ « Maman pourquoi on m’a fait quitté l’école?. »Jemina▬ « Misha mon chaton, je…. »Nigel ▬ « C’est Nigel maman!! Je suis pas un bébé arrête!! »Jemina ▬ « Misha… ton père…. Il..a..eu..un très…grave..accident. »Nigel▬ il va revenir? Hein maman papa il va revenir? Je veux qu’il revienne, je veux voir papa. »Jemina▬ « Tu ne peux mon chaton papa il est partit… Loin… . »Nigel avait sept ans quand son père avait perdu vit dans un accident de voiture, il était vire volannt et voilà le résultat, il se retrouvait six pied sous terre, laissant une femme faible et son fils avec des milliers de dette sur le dos.
Je ne sais pas comment expliquer ça car j'étais qu'un gosse quand mon père est mort, me souviens que j'ai pleuré. Ouais mais je ne croyais longtemps qu'il allait revenir. C'est en voyant l'état de ma mère empiré que j'ai alors réaliser qu'il ne revenait pas, elle se détruisait à petit feu et moi, moi je ne savais pas quoi faire je n'étais qu'une gamin; alors j'essayais de lui faire plaisir bêtement mais je ne voyais que cette solution et disons que je crois qu'elle n'a jamais prononcé mon prénom, j'étais un peu un fantôme heureusement qu'il y avait sa soeur pour me nourrir et m'aider sinon j'aurais très bien pu mourir, elle ne l'aurait pas remarqé. Alors je faisais comme elle, je vivais ma vie je pouvais faire ce que je voulais quand l'âge mure est arrivée dans ma tête, je me suis arrêté de lamenter pour vivre a cent pour cent ma vie, je ne voulais pas finir comme ma mère alors je profitais un peu à tout.
Grâce au monde où je vivais-je pouvais avoir accès a beaucoup de choses et la mort de mon père m'a rendu plus différent des autres gosse, donc ouais j'ai très vite mal tourné mais sans trop de méchanceté. Je profitais de ma vie en surveillant ma mère car j'étais assez grand désormais pour vivre seul avec elle, je lui faisais à manger, je l'obligeais à aller se laver disons que le psy qui la suivait m'aidait pas mal. Mais j'en pouvais plus à force j'avais toujours besoin d'un peu m'en aller.
Puis un beau je ne sais pas pourquoi ça lui est venu comme ça de démanger à la campagne, je ne voulais pas quitter la ville mais j'étais obligé puis pour une fois qu'elle me demandait quelques choses.
J'étais un peu restreint reculer de ce monde qui était complètement différent du miens que j'avais vu depuis si longtemps, une chance que je savais à quoi ressemblait une vache sinon j'aurais pris peur car cette ferme dont elle parlait toujours était là en bon état enfin comparé a certaine.
Puis à ce moment tout changea dans sa vie et dans la mienne, elle retrouvait le sourire et moi je devais me faire à l'idée de rester là et de faire connaissance avec ce monde, de me faire des amis si ce n'était pas que des poules et des moutons. Mais je me suis très vite fait, je suis comme ça je m'habitue très vite à une situation et je m'y adapte.
J'en ai vu des vertes et des pas mûres mais je suis un dur à cuire, un peu indescriptible, je ne pense pas aux choses triste, elle passe par une oreille et sorte par l'autre je préfère vivre ainsi.
Ma mère à ensuite trouver l'amour avec un fermier de bas étage. Moi je l'ai trouvé avec grover mais je ne sais pas pourquoi je l'ai toujours un peu rejeté que dire j'ai été bercer trop prêt du radiateur? Je ne voulais pas perdre une chose qui peut être aussi éphémère peut-être? Ou j'étais trop fier pour avouer quoique et préférait alors la rejeter et lui faire du mal que de m'avouer vaincu;
Je n'aurais pas dû pourtant j'en connais un rayon avec les femmes mais pas les femmes de son genre, c'est la strict vérité car à cause de mes folies stupides elle a agis bêtement. Je ne pouvais pas lui en vouloir car j'étais la raison qui l'avait poussé a agir ainsi.
Alors, la voir si anéanti je lui ai dis ce que j'aurais du dire il y a bien longtemps.
Encore aujourd'hui je ne sais pas où cela nous a mener, en tout cas pas comme dans le conte de fée qu'on me lisait quand j'étais gosse, je ne sais pas peut-être que c'est dans le monde où j'ai grandis qui me laisse si anxieux et incertain face au sérieux d'une relation...
Ben
