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 GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI]

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GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI] Vide
MessageSujet: GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI]   GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI] EmptyMar 19 Oct - 22:16

    Grover Danielle Hawkins-Lloyd
      « Vingt-et-un ans, Sacramento & 12/05/1989, situation compliquée, Les p'tits campagnards »
GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI] Nvtfrn
(c) Cristalline

Depuis quand habites-tu ici ? — J'habite ici depuis pratiquement ma naissance, j'utilise ce mot tout simplement, car j'ai vu le jour à Sacramento. Mon père est revenu vivre dans la ferme familiale quand ma mère a mis les voiles en prenant conscience qu'elle ne pouvait pas s'occuper d'un enfant, chose qui aurait été plus facile si elle l'avait compris au début de sa grossesse. Toutefois, je me sens vraiment chez moi ici et je ne changerais mon histoire pour rien au monde. Aimes-tu la campagne ? — La campagne, j'adore tout simplement. Je ne me vois pas du tout vivre dans une grande ville, mais si je sais pertinemment qu'à cause du métier que je veux faire, il faudra que je m'y rendre assez souvent. Il y a un petit quelque chose dans la nature qui me rend sereine et je pense que cela doit être pareil pour un bon nombre de campagnard. Même si un jour, je doit partir d'ici il y a une chose dont je suis plus que certaine, c'est que j'y garderais un repère, un endroit où venir me retrouver. Explique nous une de tes meilleures journées passé ici. — L'une de mes meilleures journées ? Il y en a tellement que je ne sais pas laquelle choisir. Hum, je crois que celle-ci doit faire partie de mon top trois. Ce jour-là, mon père avait réussi à avoir quelques heures pour nous deux et nous en avions profiter a fond. Nous avions d'abord fait une balade à cheval sur les terres de notre ferme avant de passer une petite heure auprès d'une petite étendue d'eau. La seule chose que nous avons fait est de parler, de tout et de rien. Ensuite, comme quand j'étais plus jeune, nous nous sommes retrouver sous le chêne dans la cour et je me suis installer sur la balançoire. J'avais beau avoir près de seize ans, je me ressentais redevenir la petite fille que j'étais auparavant et qui n'avait que seul repère cet homme fort qui faisait tout pour son bonheur. L'une des plus belles journées de ma vie.
    Explique nous un de tes pires souvenir passé ici. — Le jour de l'enterrement de mon grand-père. Nous n'avions jamais été réellement très proche, sans être des inconnus non plus, mais ce jour-là, j'ai ressenti une douleur presque insoutenable. Voir ce cercueil en face de moi et ma grand-mère laisser toutes les larmes de son corps couler sur ses joues, c'était tout simplement horrible. Une fois revenu de la mise en terre, j'ai couru dans ma chambre et je n'en suis ressorti que deux jours plus tard, les yeux rougis et douloureux.


.




« 12 SEPTEMBRE 1988

L'appartement était plutôt calme si on omettait la légère musique qui baignait l'endroit. Carlton Hawkins lisait tranquillement le journal tout en essayant d'omettre l'appréhension qui le tenaillait depuis quelques jours maintenant, depuis que sa fiancée avait changé de comportement. Il ne savait plus sur quels pieds danser et avait donc arrêté de lui poser des questions, sa passion était devenue de lire les nouvelles en attendant que cela passe. Pendant ce temps, Sarah Lloyd était en train de faire les cent pas dans leur chambre à coucher, celle qu'il partageait depuis pratiquement cinq mois maintenant. Tout avait été si vite entre eux, qu'elle en avait tout simplement le tournis. La peur avait pris possession de son corps quand elle avait compris avoir de réels sentiments pour lui, chose qui ne lui était jamais arrivée. Mais là, le bouchon avait poussé un peu trop loin et leur vie allait être bouleversé avant même qu'ils aient eu le temps de réellement la vivre. Mère à vingt-cinq ans, ce n'était pas fait pour elle, mais il lui fallait assumer la conséquence de ses actes. Après tout, elle allait peut-être l'aimer cette chose qui est en train de grossir dans son ventre. Cela n'aurait du jamais lui arriver, la fibre maternelle était une chose rare dans la famille Lloyd. Passant une main dans ses cheveux blonds, elle soupira avant de rejoindre son compagnon qui était assis sur le canapé. Il ne bougeait que très rarement de place ces derniers temps et ne lui posait plus de questions, elle ne pouvait que l'en remercier silencieusement. Sa main bougea toute seule et alla se poser sur la nuque du jeune homme qui soupira d'aise, c'était tellement simple. Dire qu'à seulement vingt-deux ans elle allait lui donner la lourde tâche de devenir père, d'élever un enfant dont il ne voudrait certainement même pas. Prenant son courage à deux mains, Suzie décida qu'il était temps de se lancer.

- Carl, il faut que je te dise quelque chose.
- Hum, quoi ?
- Tu te rappelles ce magnifique week-end que nous avons passé à Los Angeles il y a quelques semaines ? Il s'est passé quelque chose là-bas.
- C'était le Paradis ce week-end, mais il n'est rien arrivé de grave. Tu paniques encore pour rien, ma belle.
- Je suis enceinte.

Le journal que tenait le jeune homme tomba sur le sol pendant qu'il se retournait vers celle qui lui avait volé son cœur. Un bébé, elle attendait son enfant. Là, tout de suite, il ne savait pas comment il devait réagir. D'un côté il flippait à mort, alors que de l'autre, l'idée d'avoir un enfant avec elle était tout simplement merveilleux. En voyant les larmes couler sur son visage, il l'a pris dans ses bras et la colla contre lui, comme il l'aurait fait avec l'une de ses petites nièces. Il embrassa son front avant de se décider a parlé.

- Un bébé ? Tu ne me mens pas ?
|color=red]- Non, je ne rigolerais jamais avec ce genre de choses.[/color]
- De combien est-ce que tu es enceinte ?
- Pratiquement deux mois, on peut encore faire en sorte que rien ne soit arrivé.
- De quoi ? Tu me parles d'avortement ? Ne crois pas que mes parents soient du genre a élevé un lâche, je vais prendre mes responsabilités et l'année prochaine, nous allons être parents.

En voyant le sourire qui éclairait le visage de Carlton, Sarah avait bien compris qu'elle était bloquée et qu'il ne lui restait plus que sept mois avant d'être emprisonnée. Littéralement.

* *

C'est comme cela que l'annonce de ma naissance a eu lieu, banale, même si les pensées de ma mère n'étaient pas vraiment joyeuses. Avoir un bébé, c'était comme une peine de prison à perpétuité à ses yeux. Je ne mens pas, c'est ce qu'elle a écrit dans la lettre qu'elle a laissé à mon père avant de prendre la fuite comme une voleuse, sans aucun remords. Dans un sens, je ne peux pas lui en vouloir, tout simplement, car je ne la connais pas. Toutefois, on n'arrête pas de me dire que je lui ressemble plus qu'il n'est inimaginable, même si tiens aussi de mon paternel. Enfin, elle a décidé de partir peu avant que je fête mon premier mois de vie sur cette Terre. Mon père m'a expliqué quand j'ai été en âge de comprendre, que bien qu'elle ne soit pas avec nous à Prestwick, elle m'aimait plus que je pouvais le croire. C'était bien beau de le dire, mais moi, je n'y croyais tout simplement pas. Mon père a donc décidé que revenir dans sa ville de naissance serait la meilleure chose pour lui, pour nous, que tout serait plus facile. Cela a été le cas. En arrivant, il s'est d'abord expliquer avec ma grand-mère qui était plus que folle de joie que de me rencontrer. Il n'a pas menti, lui disant que celle qu'il croyait être la femme de sa vie avait pris la fuite s'en même se préoccuper un instant de ce qui pouvait nous arriver. Mais il a décidé avec elle de faire croire aux autres qu'elle était décédée quelques jours après ma naissance, dans un accident de voiture. Ce qui nous avaient poussé à revenir nous recueillir en famille. Pieu mensonge, mais je ne remercierais jamais assez mon père de l'avoir fait. J'ai donc grandi dans la ferme de la famille de mon paternel, en compagnie d'une mamie un peu trop envahissante et d'un papi grognon que j'adorais faire enrager. Cet homme était une vraie force de la nature et j'adorais passer du temps avec lui. Il n'était pas du genre à montrer ses sentiments et le seul jour où je l'ai vu pleurer, c'est quand ma grand-mère a été emportée d'urgences à l'hôpital après avoir fait une crise cardiaque. Je n'ai pas réellement compris sur le coup, je n'avais que six ans, mais j'ai fait ce que j'ai pensé être le mieux. J'ai grimpé sur les genoux de mon aïeul et je lui ai un fait un câlin, c'est la première et dernière fois que j'ai été aussi proche de lui.

Tout est revenu à la normale lors du retour de ma grand-mère, affaibli, mais avec le sourire. Je ne la lâchais plus d'une semelle et dès que je rentrais de l'école, je me dirigeais directement dans la cuisine pour passer le plus de temps en sa compagnie. La peur de la voir repartir était tellement forte que je ne voulais plus la laisser seule. Puis, tous les matins je faisais des recommandations à mon père pour qu'il veille sur elle, j'étais paraît-il, une vraie mère poule. Les années suivantes ont été plutôt calme, jusqu'à mon treizième anniversaire. Tout allait bien, j'avais grandi en faisant quelques erreurs et surtout quelques bonnes chutes qui m'avaient valu un bon nombre de visites à l'hôpital. Mais sinon, je me sentais plutôt bien dans ma peau et cela même si j'avais plus l'allure d'un garçon que d'une fille. À mes yeux les garçons étaient ceux avec qui je m'entendais le mieux et les filles, bein, elles étaient ce qu'elles étaient. C'est peut-être pour cela que je n'ai eu que mon premier petit-ami vers dix-huit ans, après avoir compris que je pouvais mettre mon corps en valeur et surtout plaire autrement qu'en faisant je ne sais quoi pour impressionner la gent masculine. C'est à cette époque que mon grand-père a appris qu'il avait un cancer, mais rien n'était perdu. Il s'est battu comme un fou, je n'avais jamais vu autant de force et de courage de ma vie, mais la maladie a été la plus forte, comme très souvent. Je me souviens de la dernière fois que je l'ai vu, le moment le plus intense de ma courte existence. Ce jour-là, je venais de rentrer du collège et je suis allé directement dans sa chambre pour prendre de ses nouvelles, comme je le faisais à chaque fois. Il était dans son lit, allonger avec le regard perdu en direction de la fenêtre. Je me suis approchée et j'ai pris sa main dans la mienne, comme pour créer ce lien qui nous raccrochait, mais que nous n'avions jamais réellement pris le temps de créer. Il a plongé ses prunelles bleues dans les miennes et m'a dit les mots les plus bouleversant de ma vie. "Je suis fier de toi". Les larmes ont coulé sans que je ne le veuille et j'ai déposé un baiser sur sa joue avant de me rendre dans ma chambre pour faire mes devoirs. Cette nuit-là, il est parti, pour toujours. J'ai eu beaucoup de mal à me remettre de son décès, encore plus à cause de l'état de ma grand-mère qui est devenue très inquiétant. Pourtant, elle a décidé de se battre, pour nous. Elle a gagné. Je suis devenue un peu plus solitaire à ce moment de ma vie, peut-être pour ne pas avoir à souffrir encore plus en perdant quelqu'un à qui je pouvais tenir. Ou peut-être par simple égoïsme. Je n'ai jamais réellement su, mais je pense qu'au fond, j'en avais besoin. Puis, j'ai croisé son chemin, lui, qui en avait aussi vécu des vertes et des pas mûres. Il m'a aidé à remontrer la pente, à me construire.

Il est arrivé l'année de mes quinze ans, je me souviendrais toujours de la première fois où je l'ai croisé. J'ai tout de suite compris que c'était un garçon de la ville, mais je me suis trompée en croyant que nous n'allions pas nous entendre. On s'est adressé la parole pour la première fois dans le bus nous conduisant au lycée, mais je suis restée assez distante. Il a persévéré et nous avons construit une relation amicale, toutefois assez ambigüe aux yeux de certains. Le fait que nous soyons voisins a fait que nous passions une bonne partie de notre journée ensemble à nous balader dans les environs de nos fermes respectives ou encore à monter a cheval. Nous parlions que quand nous en avions réellement besoin. Le jour de l'obtention de mon diplôme, il était là, revenu spécialement de l'université pour ne pas manquer ce grand jour. Je crois que c'est là que j'ai réellement voulu prendre soin de moi et que j'ai commencé à porter des robes. Il avait changé et moi aussi, je ne m'y attendais pas. J'ai fêté cet événement assez solennellement chez moi avant de le rejoindre dans la petite grange qui se trouvait au milieu de nos deux terrains. C'était un peu notre lieu de rencontre. Nous avons parlé de sa première année à la fac, de ce qu'il avait pu vivre et des événements parfois étrange qui pouvait y avoir lieu. Mais à mon grand damne, il ne s'est rien passé cette nuit-là, même si je lui ai fait comprendre que j'aurais aimé plus. Je lui en ai voulu, vraiment. Pendant les vacances, j'ai tout fait pour ne pas le croiser et quand il en a eu vraiment marre de me courir après, je l'ai retrouvé dans le sous-sol de la boutique de mon oncle dans laquelle je travaillais pendant l'été. Je ne sais pas comment il a fait pour rentrer, mais nous avons eu une sacré discussion qui je croyais allais tout simplement briser notre amitié. À fleur de peau, j'ai laissé mes sentiments parler pour moi et je lui ai avoué sans le vouloir que je ressentais quelque chose pour lui, plus fort que de l'amitié. Il y a eu un gros silence et je n'ai pas pu m'empêcher de l'embrasser, mon premier baiser. Pas un très bon souvenir puisque je n'ai obtenu aucune réponse de sa part. Je me suis séparé de lui avant de lui dire que j'avais compris et de remonter comme-ci de rien n'était. Il ne voulait pas de moi.

Une fois sur le campus, j'ai tout fait pour ne pas croiser son chemin et pour la première fois, j'ai laissé rentrer des garçons dans mon cercle amical pour plus que de l'amitié. Je voulais expérimenter la vie et ils n'avaient pas l'air mécontent. Je faisais des heureux et cela me permettait de rattraper le temps perdu. Il ne restait pas bien longtemps auprès de moi, mais cela m'importait peu, puisqu'un seul comptait à mes yeux. Bien entendu, l'université n'étant pas énorme, j'ai fini par tomber sur lui lors d'une soirée où je m'étais rendu en compagnie de mon copain du moment. Finley, je crois. Il n'a pas eu l'air d'apprécier le fait que je ne sois pas seul et a essayé de me parler, mais je lui ai fait rapidement comprendre que j'avais mieux à faire. Je suis monté à l'étage de la confrérie pour trouver une chambre libre, ce jour-là, j'ai fait la plus grosse erreur de ma vie. Ce garçon n'était rien pour moi, mais je me suis donné à-lui par simple esprit de vengeance. Le lendemain, j'étais en larmes dans un coin de la bibliothèque en essayant d'oublier le fait que j'avais laissé ma virginité à un quasi-inconnu et surtout qu'il m'avait bien fait comprendre que c'était fini entre nous. Après avoir fermé le bureau des pleurs et trouver le courage de cesser de m'apitoyer, j'ai relevé la tête. Il était en face de moi, avec un petit sourire sur les lèvres, triste. Pourquoi l'était-il ? Je ne sais pas comment, mais on s'est retrouvé dans le petit appartement qu'il partageait avec son meilleur ami a discuté. Il m'a fait comprendre que j'avais été la plus grosse idiote que cette terre n'est jamais portée, je ne l'ai pas contredit, surtout quand il m'a dit que j'aurais dû nous laisser du temps. Je n'ai pas réellement compris avant de sentir sa main caressée ma joue alors qu'il m'avouait que lui aussi ressentait quelque chose pour moi. Il n'avait pas voulu tout précipité pour briser notre lien si particulier et je n'avais pas compris. C'était il y a un peu plus de trois ans. Aujourd'hui, nous ne sommes toujours pas réellement en couple, ont avancent en tant que tel pour voir où cela va bien pouvoir nous mener. En espérant que cela ne sera pas vers la souffrance. »
.


GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI] W63c311

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PSEUDO & PRENOM Lion/Marine.
ÂGE Dix-neuf ans.
AVATAR Karen Gillan.
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VOTRE AVIS A SON SUJET Il est super, sinon je ne serais pas là.
PRÉSENCE SUR LE FORUM Cela dépendra de mes horaires de travail.
UN DERNIER MOT
Nope.


Dernière édition par Grover Hawkins-Lloyd le Mer 20 Oct - 15:14, édité 10 fois
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MessageSujet: Re: GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI]   GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI] EmptyMar 19 Oct - 22:21

Bienvenue GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI] 519988
Si tu as besoin d'aide pour l'avatar, n'hésite pas (a)
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MessageSujet: Re: GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI]   GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI] EmptyMar 19 Oct - 22:22

    Merci de l'accueil, pour ce qui est de l'avatar, j'ai beaucoup hésiter entre Willa et Karen, mais la seconde l'a emporter.
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MessageSujet: Re: GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI]   GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI] EmptyMar 19 Oct - 22:24

C'est un très bon choix GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI] 805334
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MessageSujet: Re: GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI]   GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI] EmptyMar 19 Oct - 22:27

    Re-merci.
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Cloé B. Duchesne

Cloé B. Duchesne

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MessageSujet: Re: GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI]   GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI] EmptyMar 19 Oct - 22:27

Bienvenue I love you
En effet c'est un très bon choix GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI] 519988
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MessageSujet: Re: GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI]   GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI] EmptyMar 19 Oct - 22:30

    Bienvenue I love you
    Bonne chance pour la fichette.
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MessageSujet: Re: GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI]   GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI] EmptyMar 19 Oct - 22:33

    Merci de votre accueil.
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MessageSujet: Re: GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI]   GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI] EmptyMar 19 Oct - 22:37

Tiens, une tête que je ne connais pas. ^^
Elle est très jolie en tout cas ! (:
Bienvenue sur HC ! GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI] 519988
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MessageSujet: Re: GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI]   GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI] EmptyMar 19 Oct - 23:05

    Merci de votre accueil. Je pense avoir terminée ma fiche, s'il y a quoi que ce soit à changer, je le ferais.
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MessageSujet: Re: GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI]   GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI] EmptyMar 19 Oct - 23:07

Bienvenue à toi ^^
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MessageSujet: Re: GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI]   GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI] EmptyMar 19 Oct - 23:10

    Merci.
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Cloé B. Duchesne

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MessageSujet: Re: GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI]   GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI] EmptyMar 19 Oct - 23:21

Quelle histoire si triste Crying or Very sad
J'ai beaucoup aimé te lire, j'en ai même perdu le moral GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI] 424104
je te valide.
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MessageSujet: Re: GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI]   GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI] EmptyMar 19 Oct - 23:26

    Merci, c'est la première fois que je suis contente d'une de mes fiches et qu'elle plaise, c'est super.
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Cloé B. Duchesne

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MessageSujet: Re: GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI]   GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI] EmptyMar 19 Oct - 23:28

Félicitations alors GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI] 909251
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MessageSujet: Re: GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI]   GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI] EmptyMar 19 Oct - 23:33

    Encore merci.
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MessageSujet: Re: GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI]   GROVER - Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole... [FINI] Empty

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